La maison urbaine au Moyen Âge Art de construire et art de vivre Florence Journot
Collection Espaces médiévaux Broché, 17 x 24 cm, 344 pages, 250 illustrations en couleur Septembre 2018
Cet ouvrage propose l’alliance, inédite, d’une étude de l’architecture de la maison urbaine médiévale en France à ce que l’on sait de son organisation intérieure, du xiiie au xvie siècle. Pour ce faire, l’auteur, archéologue et historienne, a croisé les sources iconographiques, textuelles et les vestiges matériels. Elle jette un nouveau regard sur la « bourgeoisie » médiévale, dont elle explore tant les modes de représentation que l’intimité. Une approche originale qui livre parfois de surprenants résultats. à travers l’art de construire, l’auteur aborde l’implantation de la demeure, ses fondations, le choix des matériaux, ainsi que les aménagements, la charpente ou les toitures. Florence Journot traite également du rapport de la maison médiévale à la rue et à l’espace urbain. Son approche de l’art de vivre s’attache à la vie de la maisonnée et à la distribution des pièces pour la vie familiale, sans oublier les questions de l’ameublement, d’isolation, de chauffage et d’éclairage.
ISBN 9782708410343 PRIX 44 euros
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L’armée romaine sous le Haut-Empire Yann LE BOHEC Nouvelle édition entièrement remaniée
Broché, 17 x 24 cm, 320 pages, 40 illustrations Juin 2018
Les questions militaires sont actuellement à la mode, et l’armée romaine compte au nombre des sujets les plus captivants si l’on en croit les choix des lecteurs. Cette armée a construit en cinq siècles un immense empire, elle l’a sauvegardé pendant cinq autres siècles, et après sa disparition elle a laissé un bon souvenir. Dans l’histoire de l’humanité, aucun État n’a réalisé cet exploit. Les causes de ces succès sont multiples : hiérarchie complexe qui encadrait de près les hommes au combat, diversité des unités constituées chacune pour une tâche spécifique, recrutement de qualité, variété des tactiques utilisées, création d’une vraie stratégie (une « petite stratégie », mais une stratégie tout de même). Les militaires ont joué un rôle important dans la vie politique et pas seulement en soutenant des « putschistes », mais encore en renversant des mauvais empereurs au profit de successeurs dont ils espéraient qu’ils seraient meilleurs. Elle a donné un net essor à la vie économique : il fallait entretenir plus de 350 000 hommes et une très grande quantité de bêtes. Elle a diffusé la romanité et ses dieux. Cette version, entièrement refondue, succède à trois éditions, à de nombreuses réimpressions et à des traductions en plusieurs langues (anglais, allemand, espagnol, italien et russe). Le lecteur y trouvera tout ce qu’il faut savoir sur le sujet, et aussi bien des détails et des explications qui le surprendront.
ISBN 9782708410398 PRIX 39 euros
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Noblesse, parenté et reproduction sociale à la fin du Moyen Âge Joseph MORSEL
Broché, 16 x 24 cm, 160 pages Mars 2017
Si l’on admet que la noblesse est fondamentalement un groupe social dont la domination est caractérisée par une remarquable durée historique, alors se pose nécessairement la question des facteurs de cette durée – c’est-à-dire de la reproduction sociale de cette aristocratie. Et comme cette noblesse est une aristocratie héréditaire, on ne peut éviter de s’interroger sur les fondements parentaux de cette reproduction. C’est à quoi se livre Joseph Morsel dans une série d’enquêtes portant sur un segment nobiliaire particulier, à savoir les groupes aristocratiques allemands de la fin du Moyen Âge. Ce faisant, il s’avère que les critères auxquels on pourrait le plus immédiatement songer à propos de la reproduction de la noblesse (l’héritage, le lignage) sont beaucoup moins évidents qu’il n’y paraît, et que c’est plutôt du côté des facteurs d’intégration du groupe qu’il faudrait regarder, et plus précisément du côté des rapports matrimoniaux, alors même que ceux-ci sont usuellement négligés par la recherche. C’est donc à une profonde reconfiguration de nos façons de considérer la noblesse qu’invite cet ouvrage, notamment quant au rôle des femmes dans sa permanence. Si cet ouvrage part d’une analyse de la noblesse allemande à la fin du Moyen Âge, la réflexion et les questions soulevées sont bien d’ordre général pour comprendre le phénomène de reproduction de l’aristocratie laïque en Europe à travers les siècles.
ISBN 9782708410244 PRIX 29 euros
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Histoire de l’Anjou tome 2 L’Anjou des princes (fin ixe-xve siècle) Jean-Michel MATZ, Noël-Yves TONNERRE
Broché, 16 x 24 cm, 408 pages, 88 illustrations Avril 2017
Étonnant destin que celui des princes angevins. De la fin du ixe siècle à la fin du xve siècle, l’Anjou a été gouverné par des comtes ou des ducs, des « princes » (Ingelgériens, Plantagenêts, Capétiens, Valois) dont la puissance dépasse ou affronte parfois celle du roi de France, et dont le mode de vie et l’entourage laïque ou clérical participent brillamment à la culture intellectuelle et artistique du temps. Ces princes construisent des assemblages territoriaux qui dépassent largement l’Anjou au sens strict et débordent plusieurs fois de l’espace français, vers l’Angleterre ou l’Italie. Cette histoire politique, réduite longtemps aux récits d’expéditions conquérantes et d’alliances matrimoniales habiles, est ici largement renouvelée par les recherches récentes sur les formes et les agents du pouvoir angevin et ses moyens d’intervention. Elle ne constitue pas le seul apport de cet ouvrage. Première synthèse attendue sur l’Anjou au Moyen Âge, elle cherche à proposer une histoire totale. Les cadres de la société — châtelains, évêques, moines — sont décrits, tout comme la vie des paysans. La mise en valeur du territoire, les défrichements, la création des paroisses (ancêtres de nos communes), la construction des bourgs, le développement des villes sont abordés longuement grâce aux nombreuses sources écrites conservées et aux apports de l’archéologie du bâti, du sol et du paysage. L’ouvrage propose également une nouvelle lecture de l’histoire religieuse et culturelle de l’ancien Anjou. Ce tome II de l’Histoire de l’Anjou décrit, dans le cadre de cette province, un Moyen Âge bien loin des clichés qui traînent encore.
ISBN 9782708410237 PRIX 34,50 euros
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Celtes, galates et gaulois Mercenaires de l’antiquité Luc BARAY
Broché, 17 x 24 cm, 216 pages, 26 illustrations Mars 2017
À partir d’une analyse systématique des textes gréco-latins, Luc Baray explore les principales facettes du mode de fonctionnement du mercenariat celtique : origines ethniques et géographiques, modalités de recrutement ou de rémunération, effectifs des contingents mobilisés, commandement, discipline, armement. Il s’intéresse aux procédures et techniques mises en place pour recruter, encadrer et gérer ces troupes. Les mercenaires celtes étaient-ils moins bien payés que leurs homologues étrangers ? Étaient-ils placés sous le commandement d’officiers grecs ou puniques ou avaient-ils leurs propres officiers ? Devaient-ils se présenter armés au moment du recrutement ? Qui les équipait ? Il étudie aussi les rapports qui ont pu exister entre les employés et leurs employeurs. Quelle part ont-ils pris dans le déclenchement de la « guerre des Mercenaires » ? Ont-ils été particulièrement déloyaux envers leurs employeurs, comme le laisse entendre une tendance lourde de l’historiographie ancienne et moderne ? Une attention particulière est portée à l’image du guerrier celte et plus spécialement à celle du mercenaire comme menace pour la citoyenneté. Démontrant l’inanité des stéréotypes véhiculés par les auteurs antiques et repris par les modernes, l’auteur propose une mise en perspective renouvelée d’un phénomène militaire de grande ampleur qui marqua de son empreinte l’ensemble des civilisations du pourtour méditerranéen des cinq derniers siècles avant J.-C. Il établit pour la première fois une synthèse précise et complète de nos connaissances sur un sujet jusqu’alors pas ou peu abordé.
ISBN 9782708410220 PRIX 31 euros
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Rites et société dans l'Occident médiéval Alain RAUWEL
Broché, 16 x 24 cm, 150 p. Collection Les Médiévistes français Septembre 2016
L’histoire des rites est bien davantage qu’une « histoire de la liturgie » : c’est une histoire des rapports codifiés entre les hommes et le divin, tels qu’ils sont vécus dans les sociétés qu’ils contribuent à structurer. Les interactions entre des paroles et des gestes, les milieux qui les inventent et les mettent en pratique et les conceptions du monde sur lesquelles ils s’appuient sont au coeur de cette recherche de longue haleine, menée depuis plus de quinze ans et dont les étapes ont été ici rassemblées et retravaillées. Au commencement sont les réalités constitutives de l’action rituelle : des mots (ceux du Canon de la messe), des moments (le triduum pascal, coeur calendaire du système chrétien), des éléments matériels (le vin, le feu). Elles disent l’inscription de la ritualité dans les rythmes de la vie sociale. Sont ensuite analysés les enjeux des cérémonies, solennelles ou quotidiennes. Les approches convergent ici vers une phase très particulière de l’histoire de l’Église latine, la « réforme grégorienne » : quelle a été alors la place des rites ? Que disent les débats dont ils ont fait l’objet sur des évolutions qui dépassent l’espace réservé du sanctuaire ? Comment ont-ils été utilisés dans le processus de construction de la domination cléricale ? Parce que l’auteur de ces études a toujours dialogué avec les historiens du bâti, un dernier volet porte sur les espaces cultuels médiévaux, et notamment leur coeur : l’autel, présenté ici comme un point de gravitation du système de chrétienté. Que le volume s’achève sur l’évocation d’un liturgiste des Lumières montre combien, plus que d’autres, les études rituelles sont le fruit d’un héritage séculaire, dont il importe de mener à bien l’inventaire critique ; ce recueil voudrait aussi y contribuer.
ISBN 9782708410138 PRIX 30 euros
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Navires et constructions navales au Moyen Âge Archéologie nautique de la Baltique à la Méditerranée Eric RIETH
Broché, 17 x 24 cm, 352 p., 179 illustrations Juin 2016
L’objet de ce livre est de proposer une lecture archéologique de l’histoire de l’architecture navale maritime médiévale. S’agissant d’archéologie, ce sont les épaves qui en constituent les sources primaires, mais pas seulement, car les autres sources historiques, écrites principalement, ainsi que les sources ethnographiques, le sont également. Dans cet ouvrage, les bateaux médiévaux ont été envisagés dans le but de restituer les savoirs et les savoir-faire, les gestes et les pratiques techniques, le « penser » et le « faire », et de retrouver les charpentiers de bateaux du Moyen Age et leur culture technique dans toute leur diversité. Les limites chronologiques sont comprises entre la fin du Ve siècle et la fin du XVe siècle. Elles correspondent à deux moments historiques forts de transition des techniques de construction navale en Méditerranée et en Atlantique. Les limites géographiques se situent à l’échelle large de l’Europe du nord et du sud c’est-à-dire aux espaces nautiques maritimes de l’Atlantique à la Baltique ainsi qu’à ceux du bassin occidental et oriental de la Méditerranée. Chaque fois que possible, une ouverture sur les techniques de construction navale et les navires médiévaux propres au littoral aquitain, breton, normand, catalan ou provençal a été effectuée. Chacun des chapitres se rapportant à une tradition architecturale déterminée est décliné sous des approches différentes en fonction des sources archéologiques les plus récentes et des problématiques historiques les plus actuelles, mais aussi en fonction du choix de rendre compte de l’état des recherches sous la forme d’une synthèse totalement absente de la bibliographie française et étrangère.
ISBN 9782708410114 PRIX 38 euros
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L'économie romaine en Italie à l'époque républicaine Jean-François CHEMAIN
Broché, 17 x 24 cm, 192 p. Avril 2016
La conquête de l’Empire et l'économie romaine sont inextricablement mêlées. Les cinq siècles de la République correspondent à la conquête par Rome de l'Italie (509-241), puis du Bassin méditerranéen (après 201). Rome, modeste cité du Latium enclavé, aux terres dures à travailler, au sous-sol vide de ressources minières, devient en cinq siècles le cœur politique et économique d'un empire s’étendant sur trois continents. Avec les guerres, Rome a gagné des terres, mais aussi du butin, des tributs. Elle a dû construire des routes militaires, qui ont servi aux commerçants, prendre l’habitude de la mer, s’habituer à manipuler les monnaies sur lesquelles elle mettait la main. L'agriculture se pratique désormais dans de grandes exploitations, utilisant les nouvelles terres conquises et la main d’œuvre esclave ; l’artisanat se développe avec l’émergence de grands ateliers pour répondre aux exigences de production de masse d’un marché étendu à la Méditerranée ; des activités commerciales de plus en plus lointaines voient le jour, financées par des spécialistes du maniement d'argent, et encadrées par un droit désormais assoupli. La société romaine s’en trouve bouleversée. On ne saurait ainsi dissocier l'économie de la conquête romaine. Celle-ci a favorisé le développement de celle-là, mais en sens inverse celle-là a nourri celle-ci. Si de nombreux travaux viennent apporter des éclairages sur des domaines particuliers de l'économie, il manquait une véritable synthèse de recherches les plus récentes. Tel est l'objet de cet ouvrage.
ISBN 9782708410107 PRIX 33 euros
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Mots, cris et devises emblématique dans l’Europe médiévale et moderne Philippe PALASI
Broché, 16,5 x 24 cm, 672 pages Mars 2016
Ce répertoire, constitué par l’édition d’un manuscrit de la bibliothèque des vicomtes de Jonghe d’Ardoye conservé en mains privées, enrichi de diverses sources imprimées et monumentales, recense près de 32 550 mots, cris et devises d’individus, familles ou institutions de l’Europe occidentale médiévale et moderne. Mots emblématiques ou devises héraldiques, ces phrases personnelles ou familiales véhiculent les aspirations religieuses, sentimentales ou guerrières de leurs contemporains et tentent de transmettre à la postérité un reflet de leurs mentalités et de leurs goûts. Cet outil de recherche, classé alphabétiquement et suivi d’un volumineux index, rendra de nombreux services aux historiens, historiens de l’art, chercheurs, étudiants et curieux.
ISBN 9782708410084 PRIX 59 euros
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Des dieux civiques aux saints patrons (ive-viie siècle) Textes réunis par Jean-Pierre CAILLET, Sylvain DESTEPHEN, Bruno DUMEZIL, Hervé INGLEBERT
Broché, 16 x 24 cm, 384 pages Janvier 2016
Les origines tardo-antiques des saints patrons des villes médiévales renvoient à l’évolution des communautés chrétiennes qui devinrent du ive au vie siècle progressivement majoritaires au sein des cités antiques. Auparavant, le modèle religieux païen civique distinguait ce qui relevait du public et du privé dans les relations avec le divin, ce qui n’était pas le cas des communautés chrétiennes. Lorsque celles-ci sont peu à peu devenues presque équivalentes aux collectivités civiques, le christianisme a alors assumé des dimensions collectives. La question du lien éventuel entre le culte, public ou privé, des dieux et des héros, et celui des saints locaux, est débattue depuis l’Antiquité tardive. Les paradigmes religieux païen et chrétien étaient si différents que même des éléments apparemment similaires pouvaient ne pas avoir la même signification. Il faut donc être extrêmement prudent en étudiant leurs permanences, transformations, restructurations, disparitions ou créations. Les auteurs de cet ouvrage ont abordé les aspects religieux collectifs dont les cités étaient le cadre, en insistant sur les évolutions des fonctions religieuses locales communes aux deux systèmes religieux païen et chrétien : la définition du corps social par le culte (les cultes civiques des païens ; la relation des cités à leurs saints locaux par les rites, les monuments, l’iconographie et l’hagiographie chez les chrétiens) et la protection de la vie et de la prospérité des personnes (principalement les fonctions de guérison et de protection individuelle). Ils ont complété ces approches en prenant en compte les variations régionales et chronologiques au sein du monde romain (Asie Mineure, Grèce, Afrique du Nord, Proche-Orient, Italie, Gaule) ainsi que la réflexion sur les saints des nations (Gaule, Arménie). Ils dressent un riche tableau de l’origine du culte des saints dans le monde tardo-antique.
ISBN 9782708410046 PRIX 36 euros
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L’éducation dans le monde romain Catherine WOLFF
Broché, 17 x 24 cm, 272 pages Août 2015
Cet ouvrage propose une synthèse des recherches récentes qui ont renouvelé nos connaissances sur la question de l’éducation dans le monde romain. L'auteur propose de réfuter les idées préconçues et d'en souligner l'évolution au cours du temps ainsi qu'à travers l'Empire. La longueur de la période envisagée (République et Empire) permet de saisir les évolutions du système éducatif. L’étude s’attache ensuite aux matières enseignées. Si les premiers apprentissages, la grammaire et la rhétorique sont importants, il ne faut négliger pour autant ni les autres matières, qu'elles soient intellectuelles ou manuelles, ni l’éducation du corps. Les personnes concernées par l'éducation sont nombreuses, parents, professionnels ou élèves. Tout aussi nombreuses sont les méthodes pour dispenser l’enseignement, des manuels jusqu’au tirocinium fori en passant par les suasoires et les controverses. Le grec n'a ainsi pas partout la même importance, les exercices et les matières enseignées ne sont pas partout les mêmes. Enfin le monde romain est vaste et l'auteur s'attache à distinguer les différences entre l’Occident et l’Orient d’abord, entre les différentes provinces de chacun de ces blocs ensuite. Le système éducatif adopté par les Romains forme des élites et vise à recréer et reproduire la société telle qu’elle existe, avec en particulier sa hiérarchie sociale, politique et économique. De même que la société évolue, il a évolué. Si l’on retrouve dans les territoires conquis par Rome un système identique à celui qui existe à Rome, c’est parce que l’éducation est un marqueur social, et que l'élite se doit de l’adopter, bien que certaines provinces sont moins bien pourvues que d'autres en écoles et en professeurs.
ISBN 9782708409934 PRIX 39 euros
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Suger de SAINT-DENIS Abbé, soldat, homme d'Etat au XIIe siècle Françoise GASPARRI
Broché, 17 x 24 cm, 208 pages, 20 illustrations en couleurs Août 2015
Suger est une personnalité du monde médiéval dont il faut saisir la complexité. Abbé de Saint-Denis au XIIe siècle, régent du royaume durant la deuxième croisade, initiateur de l’art gothique en France, il fut avant tout un moine bénédictin, mais aussi un soldat, un historien et un grand serviteur de l’État capétien. De condition modeste, il entra à dix ans comme oblat à l’abbaye royale de Saint-Denis et s’identifia très tôt à l’abbaye, dont il dit lui-même qu’elle fut « sa mère ». Remarqué par son abbé, puis par le roi Philippe Ier, pour ses talents d’orateur et de négociateur, il fut rapidement chargé d’importantes ambassades en Europe et à la cour pontificale. Gestionnaire des possessions de Saint-Denis, il dut s’impliquer personnellement dans plusieurs guerres meurtrières, ce dont il garda toute sa vie le remord. Devenu conseiller et proche du roi Louis VI, il participa à son gouvernement. Élu abbé de Saint-Denis, il entreprit l’immense chantier de reconstruction de l’abbatiale en y introduisant des formes nouvelles, dites « gothiques », fruit de ses nombreux séjours auprès du pape, à Rome et en Italie du Sud. Rédacteur de la vie de Louis VI le Gros et chroniqueur des premières années du règne de Louis VII, Suger inaugure l’historiographie royale des Grandes Chroniques de France. Homme de Dieu, obsédé par l’usure du temps et de l’oubli, Suger voulut faire de toute son action une « œuvre plus durable que le bronze », un témoignage pour l’avenir. Son œuvre écrite et son œuvre bâtie en sont, aujourd’hui encore, le symbole vivant.
ISBN 9782708409910 PRIX 32 euros
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Le décor peint de la maison médiévale Orner pour signifier en France avant 1350 Térence LE DESCHAULT DE MONREDON
Collection Espaces médiévaux Broché, 17 x 24 cm, 352 pages, 221 illustrations en couleurs Novembre 2015
Cet ouvrage présente une vue d’ensemble de la peinture murale figurative dans l’habitat médiéval en France avant les années 1350, lesquelles sont marquées par le début de la guerre de Cent Ans. Ce vaste sujet a été nourri par de nombreuses découvertes récentes, en grande partie dues à l’essor de l’archéologie du bâti dans les dernières décennies et la plupart effectuées dans des habitations privées, peu accessibles au public. À travers l’organisation du décor, son emplacement, les thèmes choisis, l’auteur révèle l’atmosphère que pouvait dégager l’intérieur d’une maison médiévale. Les nombreux décors mis au jour en France, dont le plus fameux est sans doute celui de la tour Ferrande (Vaucluse), permettent de mettre en lumière les thématiques abordées, lesquelles font une large place au mode de vie aristocratique. Les commanditaires s’y réfèrent volontiers, quel que soit leur milieu social. La riche iconographie rassemblée pour illustrer ce panorama permet d’appréhender la diversité des solutions adoptées par les décors conservés dans les maisons tant urbaines que rurales. Renouvelant la connaissance du décor peint ainsi que la compréhension de la société médiévale des xiie, xiiie et xive siècles, l’auteur laisse entrevoir la vie des élites médiévales, nous faisant toucher du doigt un aspect culturel intime et méconnu de la sphère laïque.
ISBN 9782708409903 PRIX 39 euros
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Noms, surnoms, prénoms au Moyen Âge Monique BOURIN, Pascal CHAREILLE
Collection Les médiévistes français, n°12
Broché, 16 x 24 cm, 288 pages Novembre 2014
Un prénom et un nom pour désigner une personne nous apparaît comme « naturel », d’autant plus que ce système s’est imposé à une grande partie de la planète. En Europe occidentale, l’usage de désigner toute personne par un prénom et un « nom de famille » s’est installé très tôt, entre l’an mil et le XIVe siècle. C’est à cette naissance, à ses rythmes, à ses nuances régionales que se sont consacrés les auteurs, dont ce volume rapporte la démarche et les principaux résultats. Ils décrivent les étapes qui ont permis d’analyser comment dans la période centrale du Moyen Âge, s’est construite une « nouvelle anthroponymie », pour désigner une partie de la population, les hommes laïcs. Car c’est pour eux que s’est créée l’anthroponymie à deux éléments, le nom et le surnom. Rapidement, cette enquête, partie de quelques régions françaises, s’est élargie à l’Europe. Ce livre montre les développements qui se sont imposés aux chercheurs, dont la question de la stigmatisation par le nom ainsi que la manière dont l’anthroponymie réagit aux migrations. Derrière ces questions, c’est tout le rôle, intégrateur ou discriminant, de l’anthroponymie qui est posé. La société médiévale n’est pas tendre, elle rit de l’aveugle et se moque du boiteux, elle se méfie de l’étranger qui passe, mais elle ne manque pas de solidarité et d’ouverture sur le monde. Les auteurs font par ailleurs le point sur les concepts, les méthodes et les instruments statistiques qui ont été mis au point et constituent maintenant un protocole applicable pour de nouveaux corpus. Ils en font un ouvrage de référence sur la question du nom au Moyen Âge.
ISBN 9782708409828 PRIX 38 euros
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L’entreprise rhénane, mythe ou réalité ? Hommage à Michel HAU Sous la direction de Pierre LAMARD, Nicolas STOSKOPF
Broché, 16 x 24 cm, 268 pages Février 2015
L’historien Michel Hau, professeur émérite à l’université de Strasbourg, a étudié dans ses ouvrages les origines des performances économiques de l’Europe rhénane : il considère que la ressource humaine est la clé de la compétitivité et que celle-ci est corrélée avec la transmission de comportements de génération en génération, notamment dans les entreprises familiales et les dynasties patronales. Ce volume d’hommage interroge, dans le contexte de crise économique et sociale que nous connaissons actuellement, le modèle rhénan d’entreprise : à dominante familiale, il est caractérisé par la préoccupation du long terme, l’ancrage territorial, le recours à l’autofinancement et au soutien bancaire plutôt qu’à la Bourse, la conception d’une communauté associant capital et travail, les solidarités interentreprises. En bref, il représente une vision humaniste et partenariale de l’entreprise ou, si l’on veut, une certaine forme de capitalisme « durable ». Mythe ou réalité ? Notion historique, fossile ou vivante ? Concept strictement allemand ou transfrontalier ? Les contributions et les points de vue rassemblés dans cet ouvrage apportent des réponses contrastées à ces questions, fondées sur une diversité d’échelles d’analyses, d’approches disciplinaires, d’expériences et de sensibilités.
ISBN 9782708409781 PRIX 34 euros
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Rémunérer le travail au Moyen Âge Pour une histoire sociale du salariat Sous la direction de Patrice BECK, Philippe BERNARDI, Laurent FELLER
16 x 24 cm, 528 pages Mai 2014
Cet imposant ouvrage collectif rassemble les contributions de médiévistes européens et américains qui abordent la question du salaire au Moyen Âge et de la rémunération réelle du travail à travers l’ensemble de l’Europe. Ils traitent successivement de l’historiographie du salariat au Moyen Âge, de la désignation du paiement du travail, des formes de l’embauche et la composition du paiement, et enfin de l’évaluation des rémunérations. Cette question a longtemps été abordée sous l’angle exclusif de l’étude du binôme prix/salaire afin de traiter de la question du niveau de vie. Or, le salaire est aussi une question d’histoire sociale, qui relève d’une forme d’anthropologie économique. Il fournit en effet l’essentiel du revenu d’une partie importante de la population urbaine et d’une fraction non négligeable de la population rurale dès le XIIIe siècle. La négociation du salaire, son montant, les modalités de son versement structure la vie d’un nombre croissant de personnes, hommes et femmes. Ainsi, c’est au moment de l’embauche que se détermine le montant et la nature du salaire : selon que la négociation porte sur un prix ou sur des journées, sur une tâche ou sur du temps, les rapports entre employeurs et employés ne sont pas les mêmes. De même, la valeur de ce qui est offert en contrepartie du travail, qu’il s’agisse d’argent ou de prestations en nature, de même que les modalités du versement, varient d’un métier à un autre et d’une région à une autre. C’est de ces diversités que les auteurs se sont efforcés de rendre compte en décrivant les nombreuses approches de la rémunération à travers les différentes professions, milieux urbains ou ruraux, périodes concernées. L’importance de cet ouvrage, qui regroupe des historiens comme des spécialistes de l’histoire économique, en fera un ouvrage clef pour la compréhension de la question des rapports de travail dans l’Europe médiévale.
ISBN 9782708409712 PRIX 39 euros
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Revue des études militaires anciennes n°6 Pratiques militaires et art de la guerre dans le monde grec antique Etudes offertes à Pierre DUCREY à l'occasion de son 75e anniversaire Réunies par Cédric BRELAZ, Sylvian FACHARD
16 x 24 cm, 160 pages, 18 illustrations Janvier 2014
La RÉMA est une revue destinée à un large public, surveillée par un comité restreint et rédigée par des auteurs choisis pour leurs compétences. Elle s’adresse à toutes les personnes qui s’intéressent à l’histoire militaire de l’Antiquité. Son premier objectif est tout simplement de remettre en honneur et de renouveler les études consacrées à la stratégie et à la tactique de cette période. Mais ces deux domaines ne se développent pas de manière autonome ; ils sont étroitement liés au recrutement et à l’armement, et plus largement à la politique et aux institutions, à l’économie et à la société, à la culture (notamment à la romanisation) et à la religion. Pour atteindre leurs objectifs, les auteurs pourront utiliser toutes les sources disponibles, les textes littéraires, juridiques, épigraphiques, papyrologiques, la numismatique et l’archéologie. La RÉMA s’est également imposé un cadre géographique et des limites chronologiques. Elle privilégiera la Méditerranée et les régions qui la bordent : Égypte, Proche-Orient, Grèce et Rome. Et, puisqu’il s’agit d’histoire militaire, les ennemis seront pris en compte. Elle publiera des travaux consacrés aux Germains et aux Iraniens, aux Écossais et aux Scythes, pour n’en citer que quelques-uns. Dans ces conditions, l’Antiquité étant la Proto-histoire et l’Histoire, les limites chronologiques choisies varient suivant les régions : pour le Proche-Orient et l’Égypte, le IVe millénaire pourra servir de point de départ, alors que, pour l’Occident, les sujets étudiés ne seront pas antérieurs au VIIIe siècle.
ISBN 9782708409682 PRIX 25 euros
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Anne de France Art et pouvoir en 1500 Sous la direction de Thierry CREPIN-LEBLOND
Broché avec rabats, 17 x 24 cm, 224 pages et environ 110 illustrations en partie en couleurs Novembre 2014
Art et pouvoir en 1500, voici comment l’on pourrait résumer ce double portrait d’Anne de France. Fille de Louis XI, elle devient régente du royaume de France à la mort de ce dernier. Une situation inédite pour une femme d'exception qui fait preuve d'une grande intelligence politique et artistique. Dissimulée derrière sa « faiblesse féminine », elle gouverne à travers les hommes qui l’entourent : le roi Charles VIII son frère, le duc de Bourbon son époux et, dans une moindre mesure, le connétable Charles de Bourbon son gendre. Mécène à l’avant-garde de la Renaissance, elle accueille à Moulins les artistes les plus doués de son temps et leur commande de véritables chefs-d’œuvre. L’heure est en effet au mécénat féminin, en cette période de transition qui voit émerger des commandes exceptionnelles. Dans le sillage de l’exposition France 1500, cet ouvrage est le fruit d’un travail collectif dans lesquels les spécialistes de la fin du XVe siècle ont pu resituer Anne de France et son action. Les auteurs abordent l’organisation de son pouvoir en Bourbonnais ; sa pratique du pouvoir à la tête du royaume ; le mécénat artistique d’Anne de France, éducatrice et commanditaire ; le triptyque du Maître de Moulins ; l’édification et la vie dans les palais de Moulins et Fontainebleau.
ISBN 9782708409620 PRIX 39 euros |
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Dictionnaire des institutions de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles Marcel MARION
In-8 broché, 564 pages Paris, Picard, janvier 2013, réimpression de l'édition originale de 1923
Véritable histoire du gouvernement et de l’administration française à l’époque de la monarchie des Bourbons, entre l’avènement d’Henri IV et l’effondrement du pouvoir personnel de Louis XVI. Un tel dictionnaire constitue un précieux répertoire, qui dispense de recourir à mille ouvrages touffus et dispersés.
ISBN 9782708409583 PRIX 38 euros |
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Penser la stratégie de l'Antiquité à nos jours Béatrice HEUSER
17 x 24 cm, 432 pages Paris, Picard, juin 2013
L’auteur présente l’évolution de la pensée et de la théorie sur la guerre depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours : les concepts de guerre juste, de guerre totale, de petite guerre, ou encore les évolutions des stratégies navales, aériennes ou nucléaires sont analysés dans cet ouvrage salué par la critique anglo-saxonne.
ISBN 9782708409569 PRIX 39 euros |
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Dans l'atelier de l'apothicaire Histoire et archéologie des pots de pharmacie XIIIe-XVIe siècle Danièle ALEXANDRE-BIDON Collection Espaces médiévaux
17 x 24 cm, 336 pages, 262 illustrations dont 24 en couleurs Paris, Picard, septembre 2013
En se situant à la croisée des sources archéologiques, textuelles et iconographiques, l’auteur livre une archéologie de la santé à partir des vases de pharmacie largement ouverte sur les mentalités médiévales et du début de l’époque moderne : médecins, apothicaires, potiers, peintres, scribes livrent leurs secrets.
ISBN 978-2-7084-0949-1 PRIX 44 euros |
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Théories et pratiques de la fiction à l'époque impériale Textes réunis par Christophe BRECHET, Anne VIDEAU, et Ruth WEBB
16 x 24 cm, 320 pages Paris, Picard, novembre 2013
Théories et pratiques de la fiction à l’époque impériale est issu d’un constat paradoxal : l’essor, dans ce moment historique et littéraire, du roman et de multiples autres formes relevant de ce que nous appellerions « fiction », sans qu’une terminologie fixe rende compte de ce phénomène complexe. Comment les auteurs antiques la concevaient-ils donc en l’absence d’un vocabulaire unifié ? Pouvons-nous cerner dans leurs œuvres mêmes les traces d’une réflexion sur la création et la réception de mondes imaginaires ? Comment celles-ci évoluent-elles ? Quelles transformations spécifiques la révolution culturelle du christianisme, avec son exigence d’une vérité unique, leur imprime-t-elle ?
ISBN 9782708409408 PRIX 45 euros |
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L'ancienne bourgeoisie en France Emergence et permanence d'un groupe social du XVIe au XXe siècle Xavier de MONTCLOS
16 x 24 cm, 152 pages Paris, Picard, septembre 2013
L'ancienne bourgeoisie en France apparaît dans la seconde moitié du XVe siècle en s’appuyant sur le négoce, l’industrie ou les offices royaux. Heurté de plein fouet par la Révolution, ce groupe social cherche à préserver sa cohésion en épousant pour partie les thèses contre-révolutionnaires.
ISBN 9782708409392 PRIX 31 euros |
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Art et industrie, XVIIIe-XXIe siècle Sous la direction de Nicolas STOSKOPF et Pierre LAMARD
In-8 broché, 296 pages, 40 illustrations Paris, Picard, mars 2013
Comment l'art a-t-il investi l'industrie au point de se rendre indispensable à la réussite commerciale d'un produit ? Une étude qui permet de revisiter une grande partie de l'histoire manufacturière française
ISBN 9782708409385 PRIX 31 euros |
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La Société médiévale CARDINI Franco
In-4 relié, 285 pages, environ 500 illustrations en couleurs. Bibliographie, index. Paris, Picard, octobre 2012.
Franco Cardini, historien italien de renommée internationale, embrasse un millénaire de vie sociale en Europe. Des années 400 à 1400, il retrace l’évolution d’un monde éclaté à la chute de l’Empire romain vers la construction ecclésiale et monastique, l’invention de la cour féodale, l’émergence des villes, la naissance des sciences et des mouvements artistiques : un univers complexe aux strates sociales bien définies, permettant par moment de vastes espaces de liberté. Franco Cardini livre une synthèse renouvelée des spécificités de la société médiévale et cherche à saisir l’extraordinaire complexité de la période tout en la rendant intelligible au lecteur. À partir d’une très riche iconographie, il balaye toute l’Europe, de l’Irlande à la péninsule Ibérique, de la Scandinavie à l’Italie, pour aboutir à l’aube d’un nouveau monde, que les historiens appelleront du nom de Renaissance.
Prix : 49 euros ISBN : 9782708409347 |
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RÉMA n°5 Revue des Études Militaires Anciennes 2008-2012
In-8 broché, 160 pages, 95 ill. Paris, Picard, décembre 2012.
Prix : 25 euros ISBN : 9782708409330
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La société romaine et ses élites Textes réunis par Sylvain DESTEPHEN et Robinson BAUDRY Mélanges offerts à Élizabeth DENIAUX
In-8 broché, 400 pages, 45 illustrations en noir. Paris, Picard, novembre 2012.
Une trentaine d’universitaires, français et étrangers, ont choisi d’approfondir la question des élites sociales romaines et des groupes politiques, des solidarités de caste et des relations de clientèle. Ils livrent une série de contributions qui examinent ces élites sur le plan politique et judiciaire, familial et social, régional et local. De la République à la période des guerres civiles et au Principat, l’examen de ce groupe dominant permet de reconstituer les stratégies familiales et de replacer les parcours individuels dans le contexte plus large de l’histoire sociale italienne et provinciale (Afrique du Nord, Adriatique, Balkans, Gaule). Rôle des femmes dans la vie politique, place de l’amitié en Gaule, exils, distributions de sel à Rome, mémoire familiale et identité aristocratiques, promotion par les armes sont autant de facettes qui offrent de nouvelles perspectives pour connaître l’histoire de la société romaine.
Prix : 39 euros ISBN : 9782708409323
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Naissance, vie et mort de l’Empire romain LE BOHEC Yann
In-8 broché, 848 pages, nombreuses illustrations en noir. Paris, Picard, fin octobre 2012.
Suite à ses précédents travaux sur l’armée et sur l’Afrique romaine, Yann Le Bohec livre une vaste réflexion sur l’Empire romain, de sa naissance à la fin du Ier siècle av. J.-C. à sa mort au Ve siècle apr. J.-C. L’auteur suit la chronologie pour aborder de façon thématique et pédagogique les principales facettes de l’Empire romain : institutions, armée, économie, société, vie quotidienne, culture et religions. Traitant tout à la fois des provinces de l’Empire et de l’Italie, en s’appuyant sur les progrès de l’archéologie, l’auteur aborde notamment la crise du IIIe siècle à la renaissance du IVe siècle et ses limites. Sa réflexion insiste sur les évolutions et sur la notion de temps, qui permet d’appréhender les changements qui ont pris place au cours des six siècles concernés. Ce chemin le conduit naturellement à deux questions : quand et pourquoi l’Empire romain est-il mort ? S’appuyant sur une illustration abondante, l’auteur retrace la destinée de l’Empire romain et en restitue la vie et l’esprit dans une synthèse originale qui évite les thèses préfabriquées.
Prix : 56 euros ISBN : 9782708409309
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Transports, territoires et société Actes des troisièmes Journées d'études industrielles de Mulhouse-Belfort, novembre 2009 STOSKOPF Nicolas, LAMARD Pierre
In-8 broché, couverture illustrée, 276 pages, quelques illustrations et plans. Paris, Picard, novembre 2011.
Ce livre propose trois axes de recherche : l'étude de la stratégie des transports urbains dans les grandes capitales européennes, la prise en compte de grands projets intégrant le paramètre étatique, et l'analyse a posteriori des conséquences des politiques publiques. Prix : 30,50 euros ISBN : 9782708409170
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Navigation et géographie dans l’Antiquité gréco-romaine. La terre vue de la mer KOWALSKI Jean-Marie
Prix Jules Girard 2012 de la Société de géographie In-8 broché, 256 pages, 46 illustrations. Lexique des notions, bibliographie, index. Paris, Picard, mars 2012.
A partir des descriptions des espaces maritimes et des itinéraires dans la littérature grecque, l’auteur propose une nouvelle méthode d’appréciation de l’espace dans le monde gréco-romain. De nombreuses descriptions de voyages maritimes, schémas à l’appui, illustrent la manière dont Grecs et Romains naviguaient et relataient leurs déplacements. Prix : 38 euros ISBN : 9782708409163
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Allumer le feu. Cheminée et poêle dans la maison noble et au château du XIIe au XVIe siècle SIROT Elisabeth Collection Espaces médiévaux
In-8 broché, 184 pages, 143 illustrations. Bibliographie. Index. Paris, Picard, septembre 2011.
L'archéologie livre une étude détaillée des problèmes techniques et de la vision intime ou symbolique du foyer, liée aux modes de vie. Prix : 43,70 euros ISBN : 9782708409071
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